Présentement, j'inonde mon blogue de lien vers des articles dans les journaux et médias électroniques, vers des sites d'émission que j'écoute, vers les organismes qui peuvent être une source d'information.
En fait, le but est de partager avec vous mes recherches.
Je trie donc ces bribes d'information selon les postes du budget.
Dans les prochains mois, je reviendrai ainsi sur chacun des sujets pour en faire une synthèse en fonction de mes réussites et mes échecs à mettre au vert mon budget.
2008/02/28
2008/02/26
L'autopsie de l'humanité
Hier, matin dans La Presse, dans sa chronique Courants_verts, le journaliste François Cardinal titrait Kyoto: une autopsie où il mentionne les actions des différents premiers ministres que nous avons eus depuis la naissance du protocole. Une autopsie d'un accord que le Canada ne respectera pas grâce à notre cher$ gouvernement conservateur.
En effet, il faut regarder le cadavre en face. Le protocole de Kyoto au Canada est une farce, un cadavre exquis de politicien. Bien que plusieurs concitoyens de ce pays soient sensibilisés à la cause, tant que les programmes ne seront qu'incitatifs et sans obligation comment penserons-nous pouvoir atteindre des objectifs de réduction des émissions de GES quand il n'y a eu que de la croissance du PIB depuis 10 ans? Notre PIB est basé sur l'augmentation de la grande roue de la consommation. Et pour consommer, il faut produire. Alors comment limiter et surtout réduire nos émissions en dessous de 6% de celle de 1990?
Tous nos dirigeants ont baissé les bras devant l'ampleur de la tâche. Sauf que dans ce type de lutte, on dirait qu'ils regardent tous la situation comme si le défi était d'atteindre un objectif X, comme le fait de gagner une élection. Ils ont le nez collé à une échéance de 4 ans. Ils ne pensent surtout pas que l'une des grandes victoires dans ce type de combat est de faire le chemin qui mène possible vers à la ligne d'arrivée. Et même si les objectifs ne sont pas rencontrés, ne vaut-t-il pas bien tenter de les atteindre que de ne rien faire?
Notre planète est malade, mais si nous ne faisons rien, ce n'est pas elle qui pâtira de nos inactions, mais bien tous nos semblables en raison des sécheresses, des inondations et des pertes de territoires épuisés par une culture intensive. Mais ce que nous devons comprendre c'est que nos "semblables" ne sont pas seulement nos concitoyens d'un pays qui possède une couleur sur une mappemonde, mais qu'il s'agit de l'ensemble de l'humanité. Et dans 100 ans, c'est peut-être l'autopsie de Homo Consumerus qu'il faudra faire pour comprendre le début de notre disparition.
En effet, il faut regarder le cadavre en face. Le protocole de Kyoto au Canada est une farce, un cadavre exquis de politicien. Bien que plusieurs concitoyens de ce pays soient sensibilisés à la cause, tant que les programmes ne seront qu'incitatifs et sans obligation comment penserons-nous pouvoir atteindre des objectifs de réduction des émissions de GES quand il n'y a eu que de la croissance du PIB depuis 10 ans? Notre PIB est basé sur l'augmentation de la grande roue de la consommation. Et pour consommer, il faut produire. Alors comment limiter et surtout réduire nos émissions en dessous de 6% de celle de 1990?
Tous nos dirigeants ont baissé les bras devant l'ampleur de la tâche. Sauf que dans ce type de lutte, on dirait qu'ils regardent tous la situation comme si le défi était d'atteindre un objectif X, comme le fait de gagner une élection. Ils ont le nez collé à une échéance de 4 ans. Ils ne pensent surtout pas que l'une des grandes victoires dans ce type de combat est de faire le chemin qui mène possible vers à la ligne d'arrivée. Et même si les objectifs ne sont pas rencontrés, ne vaut-t-il pas bien tenter de les atteindre que de ne rien faire?
Notre planète est malade, mais si nous ne faisons rien, ce n'est pas elle qui pâtira de nos inactions, mais bien tous nos semblables en raison des sécheresses, des inondations et des pertes de territoires épuisés par une culture intensive. Mais ce que nous devons comprendre c'est que nos "semblables" ne sont pas seulement nos concitoyens d'un pays qui possède une couleur sur une mappemonde, mais qu'il s'agit de l'ensemble de l'humanité. Et dans 100 ans, c'est peut-être l'autopsie de Homo Consumerus qu'il faudra faire pour comprendre le début de notre disparition.
2008/02/24
Mettre au vert son budget en prenant connaissance de son empreinte écologique
Parfois pour comprendre nos actions, il faut obtenir un portrait de leurs impacts.
Il existe un outil qui s'appelle l'empreinte écologique. On peut calculer sa propre empreinte écologique. En complétant le questionnaire, j'ai pu remarquer que mon empreinte était de 4,9 hectares comparativement à la moyenne canadienne de 8.8 hectares. Cependant, même mon empreinte écologique n'est pas soutenable pour la planète si tout le monde vivait comme je le fait. Il faudrait 2,7 planètes. Je ne prends pas cela comme un problème inéluctable. Je pense qu'il faut réellement se poser des questions pour encore améliorer mon mode de consommation qui est nuisible pour la planète.
Mon alimentation représente 2.1 hectares, mes transports 0,4 hectares, mon logement 1.1 hectares et finalement mes biens et services 1.2 hectares. Je peux ainsi voir actuellement que j'aurais beaucoup plus d'impact si je modifiait mon mode d'alimentation.
Sur ce site, il me propose également d'agir en me proposant justement des actions spécifiques en réduisant le pourcentage de certaines de mes habitudes dans mon profil alimentation, de transport ou dans mon habitude de vie dans mon logement. En appliquant quelques actions que je ne trouve pas trop contraignantes car cela modifie un peu mon alimentation sans que je devienne complètement végétarienne, en passant par l'ajout de la marche quelques journées par semaine pour me rendre au travail ou en passant par le fait de faire sécher mon linge sur la corde à linge plus souvent, j'arriverai encore à réduire mon empreinte de 0,5 hectares. Pourquoi ne pas essayer? Je n'ai rien à perdre et la planète à tout à gagner.
Je peux me rendre compte que mon empreinte de 4,9 hectares, mais pas si en dessous de l'empreinte calculée pour le Québec qui est de 5,95 hectares. (À noter que selon cette étude, l'empreinte du Canada est évalué à 7,61 hectares et non à 8,8). En fait, ces données nous permettrons de voir l'évolution des décisions gouvernementales et individuelles lors des prochains rapports et voir si notre empreinte collective augmente ou diminue.
Cependant, il faut aussi nous comparer avec les autres pays sur la planète. La WWF a publié son rapport Planète vivante 2006 dans laquelle l'empreinte écologique du Canada est au 4e rang des pays. Il ne s'agit pas d'une belle place au palmarès. Mais on peut voir que l'empreinte de la plus part des pays européens sont inférieurs à la nôtre et que pourtant, ils ont un indice au développement humain aussi élevé que le nôtre. Il utilise donc de façon plus efficiente leur ressources et aussi, ils ont des politiques qui visent à réduire la consommation. Les compteurs d'eau dans leurs pays sont légion, les taxes de type pollueur/payeur pour mettre des déchets au chemin réduise l'ardeur des citoyens et aussi le coût de l'énergie est beaucoup plus élevé que par chez nous les forçant à faire plus volontairement une rationalisation de leur consommation.
En fait, l'empreinte n'est qu'une base de comparaison pour évaluer nos actions. Il faut en tirer chacun profit pour trouver spécifiquement les éléments sur lesquels nous pouvons agir, agir et encore agir. L'immobilisme dans ce domaine n'est pas à mon avis une solution acceptable.
2008/02/23
Le plaisir simple de la marche
Quand on pense à des activités de loisir à bas prix cela équivaut très souvent à des activités qui ont un faible impact écologique.
La marche est l'une de ses activités simple qui permet de partir directement de chez soi et de trouver un parcours intéressant. Le Parc Mont-Royal est fort agréable à travers les petits sentiers à l'extérieur du chemin Olmsted ou sinon il y a plusieurs Parc Nature sur l'ensemble de l'île de Montréal. Fait seul, la marche nous apporte souvent des moments de réflexion.
La marche peut se pratiquer en toutes saisons et les seules dépenses sont souvent une bonne paire de soulier et des vêtements confortables qui pourront également nous servir le reste de la semaine.
En hiver, en raison de nos déplacements pour voir nos familles en région, nous pouvons également de profiter de ces grands territoires blancs pour pratiquer la raquette et cela à peu de frais.
Naturellement, si les parcours deviennent plus difficile, il serait intéressant de faire l'achat d'équipement approprier comme un bon sac à dos et des bâtons de marche ou des raquettes. À mon avis, il s'agit d'un bon investissement dans notre santé de s'équiper d'équipement approprié pour aller entre autre dans des sentiers enneigés, regarder et humer la nature givrée.
Naturellement, il faut explorer des sentiers balisés pour éviter de déterriorer la forêt. Parfois, dans certains centres, on peut voir que nos prédécesseurs n'ont pas été très préoccupés d'éviter de laisser leur trace de leur passage.
Je vous invite à consulter le site de la Fédération québécoise de la marche. Vous pouvez trouver sur ce site les organisations locales de marche. À peu de frais, il est possible de faire des activités de groupe, car bien qu'il s'agisse d'un sport qui peut faire en solitaire, il peut être agréable de trouver d'autres personnes pour faire de courte excursion à l'extérieur de la ville et de profiter ainsi du covoiturage. Il y a aussi des entreprises spécialisés en voyage pour la randonnée ou la raquette tel que Détour Nature, Cyclo-Nature ou Sportvac Randonnée Plein air.
Pour le budget, je vous conseille d'aller pour des souliers ou des bottes qui se garderont plusieurs années.
Pour les souliers, voici quelques références:
Allez, bonne marche! Faites-moi parvenir des idées de sentiers à explorer.
D'abord, comment nous logeons-nous?
Plusieurs se demandent louer ou acheter?
En fait, il faut voir si le logement est un investissement ou une dépense.
Avec le marché immobilier à la hausse à Montréal, bien que cela représente un montant d'argent qui sera éventuellement récupérable lors d'une future vente, un achat demeure une dépense lorsque l'on pense aux intérêts que nous donnons aux institutions financières.
L'acte d'achat a également une notion supplémentaire de consommation car nous pouvons faire un choix dans la façon de le faire.
Je participe actuellement dans un projet qui s'appelle Vertnature.
Je vois le projet comme un aboutissement dans l'achat de la consommation responsable d'un logement, c'est-à-dire qu'avec d'autres personnes, nous souhaitons contrôler ce bien de consommation en agissant en aval du choix, soit en travaillant à sa réalisation. Le groupe établira des paramètres pour le choix des matériaux, des différents systèmes dans le bâtiment et l'organisation de l'espace. Ainsi au lieu de choisir un produit déjà tout conçu dont on peut savoir difficilement s'il respecte nos critères écologiques, nous aurons un rôle en ce sens.
Naturellement, en achetant un bâtiment conçus par d'autres, il est possible de choisir parmi des projets qui ont été certifié comme LEED, LEED for Homes ou Novoclimat. Habituellement, ces projets sont des constructions neuves ou des rénovations importantes. Pour les bâtiments existants, il est toujours possible d'évaluer s'ils ont des impacts importants sur l'environnement en raison d'un système de chauffage au mazout ou des produits nocifs intégrer dans le bâtiment qui donnent une mauvaise qualité de l'air. Cependant, cette démarche est contraignante quand elle doit précéder une offre d'achat. Il faut trouver l'expert qui connaît bien ce domaine.
Cependant, les mêmes questions se posent entre acheter, louer ou faire construire. Est-ce que le logement correspond adéquatement à un besoin d'espace pour dormir, pour manger, pour se laver, pour se reposer, pour recevoir et finalement pour entreposer. Pourquoi avoir une énorme maison de 2 étages avec sous-sol quand le ménage n'est composé que de 3 personnes? La consommation d'un logement implique une consommation de l'espace, de l'eau, de l'air et d'énergie, ainsi que la consommation d'énergie pour s'y rendre et pour l'entretenir. Il faut d'abord se poser des questions sur notre mode de vie. La meilleure maison écologique qui serait 2 fois plus grosse que la moyenne est en soit une dépense supplémentaire envers l'environnement.
Donc ce sujet touchera plusieurs éléments du budget et non pas seulement le thématique 4.1 sur le logement.
En fait, il faut voir si le logement est un investissement ou une dépense.
Avec le marché immobilier à la hausse à Montréal, bien que cela représente un montant d'argent qui sera éventuellement récupérable lors d'une future vente, un achat demeure une dépense lorsque l'on pense aux intérêts que nous donnons aux institutions financières.
L'acte d'achat a également une notion supplémentaire de consommation car nous pouvons faire un choix dans la façon de le faire.
Je participe actuellement dans un projet qui s'appelle Vertnature.
Je vois le projet comme un aboutissement dans l'achat de la consommation responsable d'un logement, c'est-à-dire qu'avec d'autres personnes, nous souhaitons contrôler ce bien de consommation en agissant en aval du choix, soit en travaillant à sa réalisation. Le groupe établira des paramètres pour le choix des matériaux, des différents systèmes dans le bâtiment et l'organisation de l'espace. Ainsi au lieu de choisir un produit déjà tout conçu dont on peut savoir difficilement s'il respecte nos critères écologiques, nous aurons un rôle en ce sens.
Naturellement, en achetant un bâtiment conçus par d'autres, il est possible de choisir parmi des projets qui ont été certifié comme LEED, LEED for Homes ou Novoclimat. Habituellement, ces projets sont des constructions neuves ou des rénovations importantes. Pour les bâtiments existants, il est toujours possible d'évaluer s'ils ont des impacts importants sur l'environnement en raison d'un système de chauffage au mazout ou des produits nocifs intégrer dans le bâtiment qui donnent une mauvaise qualité de l'air. Cependant, cette démarche est contraignante quand elle doit précéder une offre d'achat. Il faut trouver l'expert qui connaît bien ce domaine.
Cependant, les mêmes questions se posent entre acheter, louer ou faire construire. Est-ce que le logement correspond adéquatement à un besoin d'espace pour dormir, pour manger, pour se laver, pour se reposer, pour recevoir et finalement pour entreposer. Pourquoi avoir une énorme maison de 2 étages avec sous-sol quand le ménage n'est composé que de 3 personnes? La consommation d'un logement implique une consommation de l'espace, de l'eau, de l'air et d'énergie, ainsi que la consommation d'énergie pour s'y rendre et pour l'entretenir. Il faut d'abord se poser des questions sur notre mode de vie. La meilleure maison écologique qui serait 2 fois plus grosse que la moyenne est en soit une dépense supplémentaire envers l'environnement.
Donc ce sujet touchera plusieurs éléments du budget et non pas seulement le thématique 4.1 sur le logement.
2008/02/19
Le portrait d'un budget
Avant de regarder comme mettre au vert son budget, il faut se demander comment notre budget est réparti dans le but de voir où nous pouvons avoir le plus d'impact.
De plus, les moyens financiers que nous avons chacun sont variables.
Par exemple, selon les données de Statistiques Canada, le budget moyen des ménages au Canada, dans le Québec ou dans la ville de Montréal sont différents.Nous pouvons voir que les dépenses totales au Canada sont de 66 857$, que dans la province de Québec elles sont de 55 348$ et de 57 689$ dans la région de Montréal.
De plus, les moyens financiers que nous avons chacun sont variables.
Par exemple, selon les données de Statistiques Canada, le budget moyen des ménages au Canada, dans le Québec ou dans la ville de Montréal sont différents.Nous pouvons voir que les dépenses totales au Canada sont de 66 857$, que dans la province de Québec elles sont de 55 348$ et de 57 689$ dans la région de Montréal.
Ces dépenses moyennes illustrent qu'à Montréal les plus gros postes budgétaires sont d'abord nos impôts (23%), le logement (19%), le transport (12%), l'alimentation (12%).
Pour les impôts, nous pouvons faire peu de chose, sinon faire des pressions politiques pour s'assurer que notre argent est utilisé à bon escient et que le gouvernement dans ces politiques encouragent la consommation responsable à l'intérieur de ces ministères. Les trois autres postes ensembles représentent donc 43% de notre budget.
Voilà où nous devons agir de façon prioritaire, car des modifications dans notre consommation concernant ces trois postes peuvent avoir plus d'impact.
2008/02/16
Les prises de décisions - Sources de la recherche
Articles sur les choix environnementaux:
Mise à jour le 30 juin 2008
- Repair or Replace?
- La vérité sur les sacs de plastique
- L'écocitoyenneté , un moteur de développement
- L'empreinte écologique mise en compétition
- Working From Home
- The Cost of Being Conscientious
- Des midis sur l'environnement - La liberté de consommer, c'est aussi la liberté de ne pas le faire
- Unilever s'engage à utiliser de l'huile de palme durable
- Nouvel indice mesurant le comportement vert des consommateurs
- Rapports d'activités environnementales
- Sondages -Les Canadiens souhaitent une taxe sur le carbone
- Taxe carbone» ou tache d'huile glissante?
- Taxe sur le carbone - Dion plus ambitieux que prévu
- Mobilité durable: le Québec à l'heure européenne
- «Être vert et compétitif», c'est possible
- Les Canadiens en faveur d'une taxe sur les émissions carboniques
- Gaspésie: Le salut par l'approche « verte »
- De Bâtirente à Développement solidaire international - La CSN a mis en place un véritable réseau d'outils économiques
- La solidarité est «payante
- Pas toujours facile d'être «vert»
- Toute une vie en Vert
- Habitudes environnementales : un bilan mitigé pour le Québec
- Apprendre à consommer de façon écologique et équitable
- Vert en dehors
- Le sens de l'équité plus émotionnel que rationnel
- Bientôt un guide normalisé du développement durable
- Greendex - Consumer Choice and the Environnment - A Worldwide Tracking Survey
- How Green Are You?
- Trois sites spécialisés pour mieux comprendre le commerce équitable
- Un nouveau guide pour consommer vert
- Le projet de société québécoise d'Hugo Latulippe!
- Il faut introduire de l'éthique et de l'esthétique dans l'économique
Mise à jour le 30 juin 2008
2008/02/14
Gestion des matières résiduelles - Sources de la recherche
Organismes:
Recyc-Québec
Articles:
Gazéification
Construire son lombricomposteur ou vermicomposteur
Premier centre de tri écolo au monde!
Après le recyclage, le compostage...
Projet-pilote de compostage pour trois MRC
Lancement d’un Code volontaire de bonnes pratiques sur l’utilisation des sacs d’emplettes
Récupérer plutôt qu'enfouir - La seconde vie des technologiquement dépassés
Montréal s’attaque aux matières organiques…si Québec embarque
5 Ways to Reuse Newspaper
Premier centre de tri écolo au monde!
Des sacs en plastique... pour le compost
Le projet «Ressourcerie des frontières» suscite la curiosité
La récupération domestique vue par les designers
L'élimination de la consigne sur les canettes recommandée
Recyclage et compostage: la population en veut plus
Le composteur
La récupération facilitée dans la rue et les restos
Votre vieux gazon est encore bon
Les verres en plastique recyclés... à l'incinérateur!
Des rejets devenus matières utiles
Recyc-Québec
Articles:
Gazéification
Construire son lombricomposteur ou vermicomposteur
Premier centre de tri écolo au monde!
Après le recyclage, le compostage...
Projet-pilote de compostage pour trois MRC
Lancement d’un Code volontaire de bonnes pratiques sur l’utilisation des sacs d’emplettes
Récupérer plutôt qu'enfouir - La seconde vie des technologiquement dépassés
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5 Ways to Reuse Newspaper
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Le composteur
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Votre vieux gazon est encore bon
Les verres en plastique recyclés... à l'incinérateur!
Des rejets devenus matières utiles
Gestion de l'eau - Sources de la recherche
Organismes:
Coalition Eau secours!
Articles:
Journée mondiale de l'eau qui fait encore défaut à un milliard d'hommes
Le changement climatique et ses effets sur l’océan
Chronique de Brico.ecolo : Récupération des eaux de pluie
Un groupe militant demande d'interdire les exportations d'eau en vrac
Save Water, Money with the "Toilet Tank Trick"
Traitement des eaux: des universitaires québécois à la fine pointe
Lettres: L'eau, un droit vital
Clin d'oeil - Le goût de l'eau
«Go Blue» invite les Canadiens à réduire leur consommation d'eau
Zerofootprint and Unilever Launch Water Calculator
Bathroom Revamp: Savings by the Gallon
Drugging Our Drinking Water
Un plan pour les jours de pluie: Ruissellement des eaux et schémas d'aménagement
Québec imposera finalement une redevance sur l’eau l’an prochain
Une ressource épuisable
Une redevance sur l'eau en 2009
Ottawa veut limiter le gaspillage d'eau de certains appareils
Vous consommez 424 litres d’eau par jour
Video: Conserve Water
Coalition Eau secours!
Articles:
Journée mondiale de l'eau qui fait encore défaut à un milliard d'hommes
Le changement climatique et ses effets sur l’océan
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Un groupe militant demande d'interdire les exportations d'eau en vrac
Save Water, Money with the "Toilet Tank Trick"
Traitement des eaux: des universitaires québécois à la fine pointe
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«Go Blue» invite les Canadiens à réduire leur consommation d'eau
Zerofootprint and Unilever Launch Water Calculator
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Drugging Our Drinking Water
Un plan pour les jours de pluie: Ruissellement des eaux et schémas d'aménagement
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Une ressource épuisable
Une redevance sur l'eau en 2009
Ottawa veut limiter le gaspillage d'eau de certains appareils
Vous consommez 424 litres d’eau par jour
Video: Conserve Water
Les dépenses par nos impôts et nos taxes
Naturellement, une de nos plus grandes dépenses dans notre budget sont nos impôts.
Ainsi parfois dans cette section, nous nous pauserons des questions sur les décisions de nos gouvernements provincial et fédéral.
Ainsi parfois dans cette section, nous nous pauserons des questions sur les décisions de nos gouvernements provincial et fédéral.
Les dépenses variables annuelles
Les dépenses variables annuelles sont réalisées sporadiquement dans l'année. Il faut naturellement les budgéter, mais aussi habituellement il faut les planifier, nous offrant alors plus de temps de réflexion pour faire les bons choix de consommation responsable.
Les dépenses variables mensuelles
Ici on parle des différents achats où à chaque fois vous devez prendre une décision de consommateur responsable. Dans un mois, plusieurs de ces décisions sont prises dans tous les commerces que vous visitez, dans les établissements où vous allez.
Les dépenses fixes - Sources de la recherche
On parle ici des dépenses fixes, c'est-à-dire celles que vous avez planifier d'avance et que vous payer continuellement à chaque mois. Habituellement, ces dépenses ne varient pas d'un mois à l'autre.
2008/02/07
En structuration
Et non, je ne marquerai pas en construction, mais bien en "structuration" (sic).
Je viens de créer ici ma page, mais avant de vous transmettre mes conseils, je dois faire un peu de ménage dans ma tête pour vous transmettre ces pratiques responsables.
On se revoit sous peu.
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